Comme Jean Paulhan, l’auteur des Antimémoires a lu L’Étranger et attire lui aussi l’attention de Gaston Gallimard sur ce texte.
Jean Paulhan a longtemps fait la pluie et le beau temps chez Gallimard, il a été patron de l’influente NRF de 1920 jusqu’à sa mort, en 1968, même si durant les années d’Occupation, c’était Drieu la Rochelle qui assurait une sorte de transition – Paulhan restant dans les coulisses. Il en a vu des grands écrivains, et même de très grands. En 1941, il reçoit un manuscrit envoyé d’Oran, expédié par un jeune pied-noir qui a publié deux recueils de nouvelles chez un petit éditeur algérois, Edmond Charlot. Le manuscrit titré L’Étranger est passé par Cannes (siège de Gallimard, à l’époque), Aix-en-Provence, Cap-d’Ail avant d’arriver à Paris. Quand Jean Paulhan lit le manuscrit, il est littéralement impressionné. Il rédige pour Gaston Gallimard une fiche de lecture très favorable et soutient la publication du roman au comité de lecture du 12 novembre 1941.
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Juste une semaine avant le comité de lecture, André Malraux, qui a lu le texte, attire lui aussi l’attention de Gaston Gallimard. L’étonnant est…
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